Hinterland

1971

Calaferte – après Le Portrait de l’enfant – poursuit ici son entreprise pouvant se définir telle une exploration consciente de l’inconscient. Ici encore l’auteur s’attache à cerner le cœur même de la personnalité humaine, son noyau.

Faisant véritablement montre de dons hallucinatoires, Calaferte donne à lire un discours distillé goutte à goutte, tel un acide corrosif…